Colin Castille Brut Blanc de blancs en magnum
Ruinart Brut Blanc de blancs en écrin seconde peau
Ayala Le Blanc de blancs Extra-Brut 2018
Colin Castille Brut Blanc de blancs
Colin Parallèle Extra-Brut Blanc de blancs
Jacquesson Avize Champ-Caïn Extra-Brut Blanc de blancs 2013
Louis Roederer Brut Blanc de blancs 2016
Ruinart Dom Ruinart Extra-Brut Blanc de blancs 2010
Ruinart Brut Blanc de blancs en écrin seconde peau en magnum
Billecart-Salmon Brut Blanc de blancs
Agrapart Terroirs Extra-Brut Blanc de blancs
Colin Les Prôles et Chétivins Extra-Brut Blanc de blancs 2012
Souvent copié mais jamais égalé… Pour porter le nom de Champagne, le vin doit en effet être élaboré dans la zone d’appellation Champagne délimitée depuis 1927. Il n’existe donc qu’un seul Champagne au monde et il est français. Cocorico !
Nom de noms !
L’une des spécificités de la Champagne tient à ses sols et sous-sols calcaires qui apportent une note crayeuse au vin. Mais les amateurs retiennent surtout ses arômes floraux, d’agrumes, de miel pour les vieux millésimes, de fruits jaunes ou de petits fruits rouges en fonction des cépages utilisés. A côté des grandes marques mondialement connues comme Ruinart, Moët & Chandon, Lanson et Mercier qui produisent surtout des vins d’assemblage à la qualité constante, de beaux domaines familiaux comme Billecart-Salmon ou Louis Roederer tirent leur épingle du jeu.
Une autre vision du Champagne
D’autres vignerons, plus petits, commencent aussi à se faire un nom en travaillant autrement le Pinot noir, le Pinot meunier et le Chardonnay. Inspirés par les climats bourguignons, ils s’attachent à leur terroir et à un seul cépage, choisissent l’élevage en barrique, travaillent en bio voire en biodynamie, et veillent, bien sûr, à la qualité des raisins. Ici, le sucre est naturel et donne des champagnes extra brut ! Ne passez pas à côté de Vouette et Sorbée ou encore de Pierre Paillard. Ces vignerons produisent des vins de Champagne plus complexes et avec plus de transparence dans leur élaboration.
La méthode champenoise
C’est à une double fermentation dont la dernière se fait en bouteille que le Champagne doit ses fines bulles. Mais cette méthode dite champenoise n’a pas toujours été aussi bien maîtrisée… Plusieurs décennies ont été nécessaires pour que les bouteilles cessent d’exploser sous la pression. En 1828, 80 % d’entre elles ont ainsi disparu ! Le Champagne était alors surnommé vin du diable ou saute bouchons.
Le saviez-vous ?
Proclamé inventeur des vins effervescents au XVIIe siècle, le célèbre moine bénédictin, Dom Pérignon, a surtout joué un rôle dans l’assemblage des crus et des cépages et sur le contrôle de la prise de mousse de la deuxième fermentation.